Le 9 mars 1968 restera gravé à jamais dans l’histoire de l’aviation péï. Ce jour-là, un Douglas DC-6 militaire décollait de l'aéroport de Gillot à 23h15 en direction de Djibouti. Mais seulement 55 secondes après son décollage, l'appareil s'est écrasé dans les Hauts de la commune de Sainte-Marie sur la propriété de la famille Barau, causant la mort de seize personnes, dont le général Charles Ailleret.
L'accident reste à ce jour le plus grave de l'histoire de La Réunion. Il a secoué l'île entière et suscité de nombreuses interrogations quant aux causes de ce drame. Les enquêteurs ont émis plusieurs hypothèses pour expliquer cet accident, mais à ce jour, aucun élément n'a permis d'en déterminer la véritable cause. L'affaire est toujours classée secret défense, ajoutant ainsi au mystère qui plane autour de cette tragédie.
Parmi les seize victimes se trouvait le général Ailleret, une personnalité militaire importante. En effet, Charles Ailleret, promu Général d’armée en 1962, a joué un rôle important dans l'histoire de l'Algérie, il a publié l'ordre du jour du 19 mars 1962 qui a annoncé le cessez-le-feu en Algérie. Par la suite, il a participé à l'autorité de transition avec Christian Fouchet, haut-commissaire en Algérie, au moment de l'indépendance.
Il a organisé le retrait de la France du commandement intégré de l'OTAN en 1966. Il a également mis en place la stratégie établie par le général de Gaulle d'une défense nucléaire française "tous azimuts".
Michèle Renard fut la seule personne à avoir survécu à cette catastrophe aérienne. Les autres passagers, malheureusement, ont tous péri dans l'accident. C'est une histoire miraculeuse, qui a laissé beaucoup de gens perplexes quant à la manière dont elle a survécu. Le docteur Axel Legros et Marcel Poirié ont découvert Michèle Renard, la convoyeuse de l'air, alors qu’ils inspectaient le champ d’eucalyptus de la propriété Barau. Ils ont retrouvé la malheureuse coincée dans son siège en haut d'un arbre.
Grâce à leur intervention rapide, l’arbre a pu être abattu à la tronçonneuse et Michèle Renard évacuée dans un sac de jute à l’hôpital de Saint-Denis.
En 1998, l'infirmière du général Ailleret, Michèle Renard, a témoigné sur cet événement tragique dans les colonnes du Journal de l’Île de La Réunion. Mais malgré les années qui ont passé depuis le crash, le mystère persiste et continue d'alimenter les conversations et les interrogations.
L'accident reste à ce jour le plus grave de l'histoire de La Réunion. Il a secoué l'île entière et suscité de nombreuses interrogations quant aux causes de ce drame. Les enquêteurs ont émis plusieurs hypothèses pour expliquer cet accident, mais à ce jour, aucun élément n'a permis d'en déterminer la véritable cause. L'affaire est toujours classée secret défense, ajoutant ainsi au mystère qui plane autour de cette tragédie.
Parmi les seize victimes se trouvait le général Ailleret, une personnalité militaire importante. En effet, Charles Ailleret, promu Général d’armée en 1962, a joué un rôle important dans l'histoire de l'Algérie, il a publié l'ordre du jour du 19 mars 1962 qui a annoncé le cessez-le-feu en Algérie. Par la suite, il a participé à l'autorité de transition avec Christian Fouchet, haut-commissaire en Algérie, au moment de l'indépendance.
Il a organisé le retrait de la France du commandement intégré de l'OTAN en 1966. Il a également mis en place la stratégie établie par le général de Gaulle d'une défense nucléaire française "tous azimuts".
Michèle Renard fut la seule personne à avoir survécu à cette catastrophe aérienne. Les autres passagers, malheureusement, ont tous péri dans l'accident. C'est une histoire miraculeuse, qui a laissé beaucoup de gens perplexes quant à la manière dont elle a survécu. Le docteur Axel Legros et Marcel Poirié ont découvert Michèle Renard, la convoyeuse de l'air, alors qu’ils inspectaient le champ d’eucalyptus de la propriété Barau. Ils ont retrouvé la malheureuse coincée dans son siège en haut d'un arbre.
Grâce à leur intervention rapide, l’arbre a pu être abattu à la tronçonneuse et Michèle Renard évacuée dans un sac de jute à l’hôpital de Saint-Denis.
En 1998, l'infirmière du général Ailleret, Michèle Renard, a témoigné sur cet événement tragique dans les colonnes du Journal de l’Île de La Réunion. Mais malgré les années qui ont passé depuis le crash, le mystère persiste et continue d'alimenter les conversations et les interrogations.
Archive du Journal de l'île de La Réunion - 1968